Autobiographie d'un des grands écrivains du siècle, qui s'est placé avec Le Cheval rouge dans le sillage de Soljénitsyne et de Grossman. « Mes grands maîtres étaient Homère et encore Homère, ainsi que le plus grand de ses élèves qui était Tolstoï. Dans l'emploi de la langue, je me réfère à Manzoni. Je dois beaucoup au saint François du Cantique des créatures. Mais mon plus grand maître, ce fut avant tout le peuple, la langue de ce peuple auquel j'ai affaire chaque jour. » E. C.