À l'aube du XXe siècle, Ronald Firbank a peint la femme du monde telle qu'elle a pu magiquement exister dans la société sans doute la plus aristocratique (et donc la plus fermée) du monde, et telle qu'elle ne reparaîtra certainement plus avant le baisser de rideau final. Apercevoir son ondoyante silhouette, entendre sous son corset les battements d'un coeur comprimé par les diktats de la Mode et de la Bienséance, et ce à travers les sept voiles de la Littérature, est le dernier luxe qu'il nous restait.