La Voyageuse, roman posthume de Boba Blagojevic, s'entrelace avec le destin de l'écrivain, moins comme souvenir et davantage en tant que confession la révélation d'un passé cruel, le fardeau de l'héritage des prénoms des morts et de leurs voix, la conscience du voyage comme agonie, l'aspiration à la beauté de la vie éternelle.