Iêgorouchka n'a pas encore dix ans lorsqu'il entreprend au cœur de l'été son premier grand voyage. Et ce sera pour lui la découverte émerveillée de la steppe russe, de cet océan sans vagues où quelques marchands naviguent en convois sur la grand-route, de ses lointains bleus traversés de brusques orages, de sa faune secrète ou familière, de son peuple de bergers ou de cavaliers évanescents. Un récit flamboyant, dans une traduction éblouissante de Vladimir Volkoff.