Georges-Paul Cuny ne se contente jamais de croquer ses personnages: il les embrasse, les aspire, les fait entièrement siens. Ici, davantage que le portrait d'un homme tardivement gagné par la foi, qui devient prêtre et que les institutions rejettent, c'est une âme, un destin, une aventure spirituelle qui nous sont dévoilés, jusqu'aux confins de l'inavouable.