« Cum-prendere » : tel est le grand talent de Dimitri T. Analis qui nous livre ici, d'une plume à la fois claire et profonde, quelques clefs qui, à l'évidence, manquent aux “diplomates” d'aujourd'hui, comme aux politiques ou aux journalistes, pour saisir dans son ensemble ce qu'il est convenu d'appeler « la crise yougoslave ».
Paul-Marie Coûteaux